De nombreuses femmes, dans leurs pays d’origines ou durant leur parcours de migration, sont victimes de persécutions spécifiques. Elles ont besoin d’une protection renforcée.
La France doit intégrer une réelle perspective de genre dans l’ensemble de ses politiques et notamment dans l’accueil des demandeuses d’asile.
Le combat pour le droit des femmes à disposer de leur corps et de maitriser leur fécondité doit être amplifier pour qu’aucune femmes dans le monde ne soit contrainte de choisir entre un avortement non sécurisé et une grosses non désirée.
Protéger les femmes, c’est défendre les droits humains.